Je vois trop de mes semblables Afropéenes qui ne vont pas bien.
Des personnes qui sont nées en France et qui ressentent :
Qu'il leur manque quelque chose,
Qu’elles ne sont plus alignés sur les valeurs qu’on leur a présentées comme étant la seule norme.
Elles ont envie de se réconcilier avec les valeurs d’origine de leurs parents.
Mais ça aussi, ce n'est pas évident parce que : comment le faire ? Parfois, les parents ne comprennent pas. Ils ont été conditionnés eux aussi. Et parfois, ils sont réticents par rapport au fait de se rapprocher de leur culture, ils ont eu trop de traumatismes.
Après, ils peuvent y aller seuls, mais quand ils y vont seuls : tu es dans une énergie d’échange, tu peux être déçu et donc l’idée de la déception, du rejet, etc. Tu ne peux pas encore vivre ça.
Et en fait, c'est pour ça, je veux dire à un moment : STOP
On a trop pris l'habitude de se dire bon OK, ce n'est pas grave, mais si c'est grave !
C’est grave en fait. C’est pourquoi à un moment il faut...
L’importance du moment présent
Quand je demande aux étudiants de noter leur « ça va » sur 10, ils me répondent 7 et quand je leur demande pourquoi, ils me disent que c’est parce qu’ils ne sont pas là où ils voulaient être.
Je leur rappelle alors qu’ils sont dans le présent et pas dans le futur et leur dit : « Quand tu étais petit, tu savais être tout le temps hyper joyeux, enjoué, prêt à découvrir des choses sans te dire que tu n’étais pas encore la personne que tu serais à 20 ans ! »
Le moment présent, c’est de se dire qu’aujourd’hui je fais les choses que je dois faire : je suis organisé, je sais où je vais, tout va bien.
Il ne faut pas craindre d’être à 10/10, de considérer mériter un 10/10, en définitif d’ÊTRE fier de soi, de FAIRE ce qu’il y a à faire pour AVOIR des résultats.
Si ce n’est pas le cas alors fais juste les ajustements nécessaires et fais les MAINTENANT et pas dans 10 ans afin que le aujourd’hui fasse un bon demain et l’aujourd’hui de demain fasse un bon après d...
Je suis anormale et je l'ai toujours été sauf que par le passé, on a voulu me corriger, me réparer.
On a essayé de différentes façons :
-déjà à l'école : je n'aimais pas l'école mais je n'avais pas le choix. On me réprimandait et punissait parce que je n'écoutais pas les cours. En effet j'ai toujours beaucoup rêvé, posé plein de questions et bavardé parce que je ne comprenais pas le principe de rester assise longtemps à écouter quelqu'un parler de quelque chose qui ne m'intéressait pas. J'admirais ceux qui aimaient cela et on me disait qu'il fallait que je fasse comme eux alors j'ai essayé d'arrêter de parler pour faire ce qu'on me demandait de faire. J'ai choisi d'être une moyenne constante (avec des compliments à tous les conseils de classe), pour que chacun me laisse en paix et que je retrouve ma liberté. Cela m'a rendue timide et avec du recul, a aussi développé mon hypersensibilité : on a considéré que de rester dans son coin, ne pas aller vers les autres était une anomalie alor...
Voilà la conclusion qui est sortie cette semaine à la suite d’un coaching avec un leader : "Je suis en surpoids mental"
Bien qu’originale, cette formulation prend tout son sens.
Tout d’abord parce que le poids d’une personne se trouve en bonne partie dans son cerveau. C’est la raison pour laquelle les nouveaux nés ne tiennent pas leur tête.
Je dis aussi souvent aux étudiants en informatique que j’accompagne que leur poids ne se voit plus physiquement puisqu’il est dans la boite noire.
Également, laissez-moi vous raconter une histoire avant de poursuivre mon propos.
Au temps des rois d’Abomey (comme sûrement dans beaucoup d’autres endroits), on considérait que quand une personne ne faisait pas les choses correctement ou faisait quelque chose d’anormal, cela signifiait que sa tête était sûrement trop lourde à porter pour cette personne et qu’il fallait donc le soulager. Le remède était radical puisqu’on lui coupait tout simplement la tête.
Aujourd’hui la justice nous a amené à trou...
Je vous raconte cette semaine deux histoires assez troublantes puisqu'elles ont eu lieu il y a quelques jours, à quelques heures d'intervalle, sur deux continents différents et avec deux personnes ayant le même patronyme, bien que peu courant.
C'est l'histoire de deux femmes qui avaient un rapport erroné avec la nourriture.
Prenons la première : pas ou peu d'appétit, elle doit néanmoins cuisiner plusieurs fois par jour des plats variés pour sa famille et se force pour manger
Quant à la seconde, elle a d'importantes inflammations cutanées sans en connaître la cause ni l'issue.
Grâce à l'anamnèse (analyse complète de votre hygiène de vie), nous avons pu mettre en lumière plusieurs causes mais en tout cas une cause commune : le corps de ces deux personnes réclamait de la nourriture africaine.
Bien que l'une ne soit pas sur le continent depuis plus d'une décennie, elle a forcément pu s'adapter à son environnement mais sa peau, par manque de soleil et de nutriments génétiquement reconn...
Je vais vous raconter une histoire que j’ai vécu il y a quelques années. Je travaillais dans une société traditionnelle du nord de la France : entreprise familiale, de type paternaliste où tout est fait pour que le salarié se sente bien pour y envisager toute sa carrière. J’ai toujours été en admiration pour ce genre de structures et surtout pour les personnes qui y passaient plus de 40 ans et qui auraient pu même y rester si l’âge de départ à la retraite n’était pas légalisé. 40 ans ! Plus que mon âge quoi ! Pour moi qui ne sait pas rester en place, vraiment j’étais intriguée par mes plus grande craintes : l’ennui, la sensation d’emprisonnement et d’absence de liberté….
Bref pour revenir à mon histoire : cette personne que l’on nommera ESTELLE était donc à mi parcours de sa carrière. Elle avait intégré l’entreprise à sa sortie d’école, y avait construit sa vie (couple, enfants, maison,…) et donc avait un attachement certain à son activité professionnelle.
A l’heure où la génération ...
Tu peux mettre tous les apparats que tu veux : tes yeux resteront toujours les miroirs de ton âme
On dit qu’on est dans une société matérialiste où l’apparence compte plus que le reste, où des personnes dépensent des sommes astronomiques pour rentrer dans des codes _jusque-là très occidentalisés_ : les cheveux, le visage, l’habillement, les chaussures et autres accessoires (bijoux, sacs, parfum, montre et même téléphone) sans oublier les « substitut » (soutien rembourrant, secret pour cacher le ventre ou gaine pour les fesses)
Tout est à priori stéréotypé, codé…ne pas rentrer dans les codes peut nous desservir (dans un entretien par exemple ou en milieu professionnel) ou au contraire nous permettre de nous démarquer.
Tout dépend une fois de plus de l’estime de nous-même à travers la capacité à incarner qui nous sommes véritablement. Si cette estime n’est pas bonne, on aura tendance à vouloir suivre ces injonctions pour se faire accepter, au risque de se sentir rejeté ou marginalisé....
Le moi égoique et le moi heroique robin skarma
Quand j’ai entendu cette phrase en début de semaine, ma vie a changé ! Eh oui, trop souvent on entend parler des deux loups en nous, le gentil et le méchant…mais cette idée de méchant me dérangeait un peu puisque tout a un sens et une explication donc émettre un jugement est un raccourci hâtif.
Si par contre on parle de moi égoïque et de moi héroîque, tout devient plus clair et évident !
L’un représente le passé, l’autre le futur et le présent va servir à faire l’équilibre entre les deux, grâce à notre capacité de discernement et de lucidité.
Les deux moi sont importants.
Le moi égoïque (ME) a enregistré nos conditionnements (sociétal, familial, nos expériences). Il se souvient donc des bons et des moins bons souvenirs. Son but est de nous faire apprendre des leçons puisque pour rappel, nous sommes en constante évolution.
Le moi héroïque (MH), lui, représente nos idées et rêves, notre créativité, toutes nos capacités, nos opportunité...
Je me rends compte que nous avons été bien formatés ! On m’a appris à nous juger, être jugés et juger les autres (tu te souviens le stylo rouge qui critiquait ce que tu faisais et s’appelait une note...) Donc en gros c’est une autre personne qui se permet de donner un avis sur ce que tu as fait... et une fois adulte on se plaint de toujours attendre l’avis et la validation des autres pour faire quoi que ce soit et les gens paient pour qu’on leur réapprenne à agir sans la peur d’être jugés.
On nous a montré des images de l’Afrique avec des gens qui font de la peine à voir en nous faisant comprendre qu’on n’avait pas le droit de se plaindre parce que nous au moins on était bien car il y avait pire que nous.
On a donc construit tout un imaginaire autour de l’Afrique a qui on a dit et fait croire qu’elle était pauvre pour pouvoir mieux contraster avec l’occident. On a donc créé des famines, des guerres,pris des photos faisant croire que les gens sont sans habitudes, pas parce qu’ils o...
AfroNaturo, c'est un concept inédit alliant la naturopathie, les neurosciences et la sagesse africaine.
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